Tous les points de vue

Le chef de la direction de Vanguard, Salim Ramji, a récemment fait une apparition à Wall Street Week de Bloomberg TV en marge du 50e anniversaire de Vanguard. M. Ramji a discuté entre autres de sujets comme la récente volatilité des marchés et la réaction des clients de Vanguard, ainsi que de notre engagement continu à réduire les frais (ce que nous avons fait encore une fois en février aux États-Unis) et à assurer un sentiment de cohérence à l’égard de notre raison d’être tout en maintenant « l’effet Vanguard ».

Les conférences téléphoniques sur les bénéfices des sociétés sont une mine de renseignements, mais les écouter toutes est une tâche colossale. L’intelligence artificielle offre à Vanguard l’occasion d’analyser les conférences téléphoniques sur les bénéfices à grande échelle pour déceler des signes indiquant qu’une société est sur le point de réduire son dividende. Il s’agit de l’une des nombreuses expériences d’IA que nous menons pour tirer des renseignements de chaque élément d’information possible, afin d’aider les investisseurs à avoir les meilleures chances de réussite en matière de placement.

Nos perspectives pour l’économie canadienne au premier trimestre de 2025, couvrant la politique monétaire, l’inflation, la croissance du PIB et les marchés de l’emploi.

Alors que les replis et la volatilité des marchés font les manchettes, de nombreux clients demandent l’avis de leur conseiller financier. Nous soutenons depuis longtemps que les périodes d’incertitude, comme celles que nous avons vues jusqu’à présent en 2025, sont les moments qui comptent et l’heure de gloire de l’Alpha du conseiller.

Dans six courtes vidéos (en anglais seulement), Joe Davis, économiste en chef mondial de Vanguard, et Massy Williams, chef de la gestion de patrimoine, discutent de la volatilité des marchés, des perspectives économiques à court terme, de la puissance d’un portefeuille diversifié, du risque de récession, des prévisions économiques et boursières comme une forme de gestion du risque, et de la valeur des conseils financiers judicieux.

Nous présentons aux investisseurs une certaine perspective à la suite de l’annonce du 2 avril concernant les opérations aux États-Unis.

Le stratège principal en placements de Vanguard Canada fait le point sur les retombées des droits de douane sur l’économie canadienne, et fait quelques recommandations aux conseillers financiers.

Les investisseurs sont inquiets. Pour comprendre la volatilité qui caractérise la période actuelle, il peut être utile de jeter un coup d’œil sur le passé. Ce recul permet de constater que la volatilité n’est ni unidirectionnelle ni constante dans son ampleur, et qu’elle ne découle pas non plus toujours du même type de risque.

Les tarifs en suspens pourraient signifier un plus grand risque sur les marchés, mais aussi des opportunités, selon le président et le CIO de Vanguard.

Compte tenu de la perspective de l’application de nouveaux droits de douane par les États-Unis et ses partenaires commerciaux, nous avons demandé à Kevin Khang, économiste international principal de Vanguard, de nous faire part de son point de vue sur les répercussions potentielles de ces droits de douane sur les secteurs, les économies et les marchés financiers.

Lorsque nous réfléchissons aux rendements des placements pour 2024, il est clair que l’année a produit de solides rendements pour les investisseurs diversifiés et équilibrés qui ont été en mesure d’ignorer les perturbations.

Après que l’un des cycles de hausses de taux les plus énergiques de l’histoire a contribué à ramener l’inflation plus près de la cible de la Banque du Canada (BdC), cette dernière s’est recentrée sur la croissance, ce qui a conduit à un début d’assouplissement de la politique monétaire.