Skip to Content

Pleins feux sur 2023 : banques centrales, énergie, inflation, marchés

Perspectives de Vanguard sur l’économie et les marchés en 2023 : surmonter l’inflation devraient être publiées aux États-Unis le 12 décembre.

Le rapport présente quatre thèmes clés qui, selon nous, dicteront l’évolution de la conjoncture économique au début de 2023 : la vigilance des banques centrales dans la lutte contre l’inflation, les conséquences économiques de la crise énergétique en Europe, les difficultés d’ordre structurel à long terme de la Chine, qui vise à mettre fin à sa politique zéro COVID, et les perspectives plus favorables pour les investisseurs à long terme.

Lutte contre l’inflation : les banques centrales demeurent vigilantes

 

L’évolution de l’économie et des marchés financiers au cours de la dernière année s’est avérée être l’une des plus rapides jamais observée. Dans le monde entier, les banques centrales ont réagi en adoptant des politiques monétaires coordonnées qui ont surpassé tout ce que nous avions vu depuis plusieurs décennies.

 

Resserrement monétaire coordonné à l’échelle mondiale

Remarque : Les lignes pointillées représentent les attentes du marché à l’égard des taux directeurs futurs au 31 octobre 2022.

Source : Thomson Reuters Datastream et Bloomberg.

 

« Il s’agit de la plus grande menace d’inflation depuis les années 1980 », a déclaré Josh Hirt, économiste principal de Vanguard aux États-Unis. « Les banques centrales ont un chemin difficile à parcourir et devront adopter des politiques plus énergiques, procéder à des hausses de taux supplémentaires et demeurer vigilantes à mesure que la situation de l’inflation évolue. Aux États-Unis, la Réserve fédérale a adopté la position selon laquelle il reste du travail à faire, et elle semble avoir la détermination nécessaire pour s’y tenir. »

 

Vanguard estime qu’environ la moitié des pressions à la hausse sur l’inflation à l’échelle mondiale sont attribuables à l’offre, en raison des effets persistants des répercussions de la pandémie sur les chaînes d’approvisionnement et de la guerre en Ukraine. L’autre moitié est causée par la demande, que la politique monétaire restrictive vise à atténuer. Le soutien au resserrement de la politique monétaire pourrait toutefois s’estomper en 2023, en particulier si les économies ralentissent au point où les restrictions financières des entreprises entraînent des licenciements massifs, a indiqué M. Hirt. 

 

« Pour résoudre le problème de l’inflation, la Fed doit vraiment ralentir l’activité économique », a-t-il déclaré. « Nous croyons que la marge de manœuvre dont dispose la Fed pour relever les taux au point de ralentir l’inflation, mais pas au point de provoquer une récession est très étroite. » 

 

Les banques centrales cherchent généralement à éviter les récessions, mais la dynamique actuelle de l’inflation ne laisse guère d’autre choix aux décideurs que de resserrer les conditions financières pour tenter de stabiliser les prix. En 2023, notre scénario de base est une désinflation, mais au prix d’une récession mondiale. 

 

Économie canadienne : prix de l’énergie, immobilier et répercussions mondiales

 

Le marché de l’habitation demeurera une faiblesse pour la croissance économique au Canada en 2023. Nous nous attendons à ce que le Canada connaisse une légère récession, avec une croissance annuelle d’environ 0,7 %. Les événements économiques et géopolitiques mondiaux, en particulier ceux aux États-Unis, aideront à définir les résultats économiques du Canada. 

 

À notre avis, les principaux risques de baisse sont les répercussions de la récession mondiale sur les exportations canadiennes. La volatilité des prix de l’énergie ou les problèmes de chaîne d’approvisionnement pourraient retarder la normalisation de l’inflation, de sorte que les conditions financières resteront serrées encore longtemps. Cette situation, conjuguée au resserrement de la politique monétaire, pourrait mener à une récession plus sévère que prévu compte tenu de l’endettement record des ménages canadiens et de la baisse des prix des logements et du patrimoine des ménages. Selon nous, un atterrissage en douceur est peu probable, mais nous continuons de surveiller les marchés canadiens de l’emploi et de l’immobilier à mesure que la conjoncture économique évolue.

 

 

Crise énergétique en Europe : les difficultés devraient perdurer

 

La guerre en Ukraine a accentué l’incertitude en Europe, la volatilité des marchés et les pressions sur les prix en 2022. La forte hausse des prix du gaz naturel a contribué au resserrement des conditions financières et au pessimisme qui, selon nous, auront entraîné la zone euro en récession au quatrième trimestre. 

 

L’adaptation rapide de l’Europe à une forte réduction des importations de gaz russe nous encourage. Comme le montre le graphique ci-dessous, les substitutions à l’approvisionnement en 2022 provenaient d’une combinaison d’autres combustibles, d’énergies renouvelables, d’autres sources d’approvisionnement et du stockage existant. Même si ces options atténuent l’effet négatif, nous prévoyons que la demande de gaz devra diminuer d’environ 15 % cet hiver par rapport à l’an dernier. 

 

Importations de gaz en Europe : comment l’écart sera comblé


Source : Estimations de l’Agence internationale de l’énergie, de la Commission européenne et de Vanguard, au 31 octobre 2022.

 

Selon Shaan Raithatha, économiste principal de Vanguard pour le Royaume-Uni et l’Europe, « une des principales raisons pour lesquelles l’offre de gaz en Europe en 2022 a été plus facile que prévu est que de nombreux pays ont été en mesure de remplir leurs installations de stockage de gaz à l’avance, alors que le gaz russe circulait encore ». L’année prochaine, ils partiront d’un niveau beaucoup plus bas, ce qui pourrait poser un défi au milieu ou à la fin de 2023. » À long terme, l’ampleur des pénuries de gaz en Europe sera déterminée par la capacité des pays à obtenir des sources d’énergie de remplacement à un prix raisonnable. 

 

À court terme, les prix élevés de l’énergie et des aliments continueront de peser sur le revenu disponible réel des ménages, tandis que l’incertitude entourant la guerre en Ukraine aura une incidence sur la confiance des consommateurs. « Tout comme aux États-Unis, certains signes laissent entrevoir un plafonnement de l’inflation en Europe », a déclaré M. Raithatha. « Néanmoins, nous nous attendons toujours à ce que les pressions sur les prix associées au marché de l’emploi et à la croissance des salaires demeurent obstinément élevées au début de la prochaine année. » 

 

Nous prévoyons que l’inflation atteindra un sommet d’environ 11 % et qu’elle demeurera bien au-dessus de la cible de 2 % de la Banque centrale européenne en 2023. Par conséquent, nous nous attendons à ce que la BCE continue de relever son taux sur les dépôts jusqu’au premier trimestre de 2023 pour le porter à 2,5 %. 

 

 

Économie chinoise en 2023 : rebond cyclique dans un contexte de difficultés d’ordre structurel

 

La politique zéro COVID de la Chine et la contraction du secteur immobilier ont considérablement freiné la croissance en 2022. Nous prévoyons une croissance du PIB d’environ 3 % à la fin de 2022, ce qui est nettement inférieur à la moyenne historique et à la cible officielle d’environ 5,5 %. Pour 2023, nous nous attendons à une accélération de la croissance du PIB, qui devrait s’établir à environ 4,5 %, grâce à un léger assouplissement de la politique zéro COVID et à la stabilisation du secteur immobilier.

 

« La COVID est l’un des facteurs qui domineront l’économie au cours des prochains mois », a déclaré Qian Wang, économiste en chef de Vanguard pour l’Asie-Pacifique. « Le retrait par la Chine de sa politique zéro COVID sera mouvementé, comme en témoignent les mesures de confinement récentes dans les grandes villes comme Chongqing, Guangzhou et Beijing. La Chine doit se préparer à la réouverture en favorisant le développement de vaccins et de médicaments, en améliorant les hôpitaux et en changeant la perception généralisée de la COVID. Elle ne peut pas se permettre d’abolir complètement sa politique zéro COVID, et il pourrait s’écouler plusieurs mois avant qu’elle puisse l’assouplir de façon significative. » 

 

Par ailleurs, nous prévoyons un ralentissement prolongé des investissements dans le secteur de l’habitation au cours des cinq à dix prochaines années. 

« Le caractère de moins en moins abordable des logements, le vieillissement de la population, la réduction de l’urbanisation et la position selon laquelle « les logements sont faits pour y vivre, et non pour spéculer » entraîneront un ralentissement structurel de la demande de biens immobiliers », a affirmé Mme Wang. Les politiques budgétaires et monétaires favorables contribueront à stimuler la demande, a-t-elle ajouté, mais « même si le gouvernement assouplit la réglementation à l’égard du marché de l’habitation, nous ne nous attendons pas à un rebond marqué ».

 

Malgré l’assouplissement de la réglementation, il est peu probable que le marché de l’habitation rebondisse en raison d’un ralentissement structurel

 

L’offre de logements demeure excédentaire en Chine, la hausse de la demande ne compensant que légèrement la croissance de l’offre.

 

Les facteurs cycliques soutiendront le marché de l’habitation à court terme, mais les facteurs structurels réduiront la demande au cours des cinq prochaines années.


Source : Calculs de Vanguard, selon des données de Bloomberg, au 31 octobre 2022.

 

Enfin, la Chine se trouve du mauvais côté de la restructuration de la chaîne d’approvisionnement mondiale. Les multinationales cherchent à réduire leur dépendance à l’égard de concurrents stratégiques, ce qui menace la domination à long terme des exportations chinoises. « Cela nuira à la capacité de la Chine d’attirer et de retenir les meilleurs talents et pourrait entraver l’innovation », a indiqué Mme Wang. « Pour compenser, la Chine met l’accent sur l’innovation locale et la circulation interne afin de poursuivre sa croissance au pays. » 

 

Perspectives plus optimistes pour les investisseurs à long terme

 

Vers la fin de 2021, nous avons souligné que les valorisations boursières élevées et les faibles taux d’intérêt ne reflétaient pas encore la gravité des pressions inflationnistes croissantes, ce qui a créé un contexte fragile pour les marchés. Ce n’est qu’au milieu de 2022 que les marchés ont été contraints d’accepter une nouvelle réalité économique, soit une hausse persistante de l’inflation. L’effet combiné de la hausse des taux d’actualisation, des perturbations géopolitiques et du ralentissement de la croissance a donné lieu à un délestage tenace à l’échelle mondiale qui a touché l’ensemble des catégories d’actif.

 

Nos perspectives à long terme pour les marchés développés se sont nettement améliorées par rapport à l’an dernier. La hausse des taux d’intérêt a engendré des difficultés à court terme pour les investisseurs en titres à revenu fixe, mais nous sommes considérablement plus optimistes à l’égard des obligations mondiales en raison de la hausse des taux d’intérêt initiaux. Pour les investisseurs en actions mondiales, les évaluations plus faibles sont beaucoup plus propices à des rendements supérieurs à long terme par rapport à la même période l’an dernier. Nos prévisions annualisées à l’égard des obligations et des actions mondiales ont augmenté d’environ 2 points de pourcentage pour les dix prochaines années. 

 

Compte tenu de l’inflation qui demeure élevée aux États-Unis, « nous avons été témoins d’un durcissement de ton extraordinaire de la part de la Réserve fédérale, qui a fait grimper la courbe nominale des taux aux États-Unis à un niveau inégalé depuis 2011 », a déclaré Kevin DiCiurcio, chef de l’équipe de recherche pour le Vanguard Capital Markets Model. Au cours des dix prochaines années, nous prévoyons un rendement annualisé de 4 % à 5 % pour les obligations mondiales hors États-Unis et de 4,1 % à 5,1 % pour les obligations américaines. Il s’agit d’une augmentation de 2,7 points de pourcentage par rapport aux prévisions de l’an dernier pour chaque catégorie d’obligations. Cela signifie que pour les investisseurs ayant un horizon de placement suffisamment long, nous nous attendons à ce que leur patrimoine soit plus élevé d’ici la fin de la décennie que ce que nous prévoyions il y a un an.

 

Le graphique ci-dessous reflète les prévisions de Vanguard à l’égard du marché obligataire américain; toutefois, des trajectoires semblables sont également valables pour les pays développés.

 

Nous nous attendons à ce que la situation des investisseurs s’améliore grâce aux ventes massives, et non en dépit de celles-ci


Remarques : Le graphique présente les rendements réels de l’indice Bloomberg U.S. Aggregate Bond ainsi que les prévisions de Vanguard à l’égard des rendements cumulatifs pour les dix années subséquentes, au 31 décembre 2021 et au 30 septembre 2022. Les lignes pointillées représentent les 10e et 90e centiles de la distribution prévue. Données au 30 septembre 2022.

Source : Calculs de Vanguard, d’après la simulation du VCMM au 30 septembre 2022, et Bloomberg.

IMPORTANT : Les projections et les autres données générées par le VCMM en ce qui concerne la vraisemblance des résultats de placements divers sont de nature purement hypothétique; de plus, elles ne reflètent aucunement des résultats de placement réels et ne sauraient garantir les résultats futurs. La distribution du rendement calculé par le VCMM est tirée de 10 000 simulations effectuées pour chaque catégorie d’actif modélisée. Les simulations sont en date du 31 décembre 2021 et du 30 septembre 2022. Les résultats tirés du modèle peuvent varier à chaque utilisation et dans le temps. Pour en savoir davantage, veuillez consulter la section Renseignements importants.

Le rendement passé n’est pas garant des résultats futurs. Le rendement d’un indice ne correspond pas exactement à celui d’un placement précis dans la mesure où il est impossible d’investir directement dans un indice.

 

Du côté des actions américaines, les valorisations excessives observées ces dernières années n’étaient pas viables dans le contexte de l’inflation intérieure et des taux d’intérêt. Les indices boursiers américains ont tous affiché des pertes supérieures à 20 % au cours des neuf premiers mois de 2022, tout comme les indices boursiers internationaux des marchés émergents et développés. Les valorisations actuelles aux États-Unis sont plus intéressantes que l’an dernier, mais une certaine prudence à court terme pourrait encore être justifiée à l’égard des actions américaines. « Les évaluations des actions américaines demeurent supérieures à nos estimations de la juste valeur, et les prévisions de rendement à long terme sont légèrement inférieures aux moyennes historiques aux États-Unis », a indiqué M. DiCiurcio. « Il faudrait que les valorisations baissent un peu plus pour que les attentes se rapprochent des fourchettes moyennes historiques. » Malgré tout, nous nous attendons à ce que les actions américaines enregistrent un rendement de 4,7 % à 6,7 % au cours des dix prochaines années, soit une hausse de 2,4 points par rapport aux prévisions de l’an dernier. 

 

Les replis simultanés des marchés boursiers et obligataires en 2022 ont particulièrement retenu l’attention. Bien qu’elles ne soient pas inhabituelles, les périodes de rendements négatifs simultanés sont peu fréquentes et pénibles. Nos recherches montrent que ces corrélations peuvent évoluer de façon dynamique sur des horizons de placement plus courts, mais qu’il faudrait de longues périodes d’inflation invariablement élevée pour que les mesures de corrélation à long terme — celles qui ont une incidence plus importante sur les résultats d’un portefeuille pour un investisseur à long terme — deviennent positives. En bref, un portefeuille diversifié sur le plan des catégories d’actif demeure un outil efficace pour gérer la tolérance au risque à long terme.

 

 

Remarques :

Tout placement est assujetti à des risques, y compris à celui de ne pas récupérer les fonds que vous avez investis. Nous souhaitons rappeler que les fluctuations des marchés de capitaux ainsi que d’autres facteurs peuvent entraîner une baisse de la valeur de votre compte. Rien ne garantit qu’une répartition de l’actif ou une composition de fonds en particulier vous permettra d’atteindre vos objectifs de placement ou d’obtenir un niveau de revenu donné. La diversification n’est pas une garantie de profit et ne protège pas contre les pertes.

Les placements dans des obligations sont exposés au risque de taux d’intérêt, au risque de crédit et au risque lié à l’inflation.

Les placements dans des actions et des obligations émises par des sociétés autres qu’américaines sont sujets à des risques, y compris le risque géographique et le risque de change. Ces risques sont particulièrement élevés dans les marchés émergents.

IMPORTANT : Les projections et les autres données générées par le Vanguard Capital Markets Model (VCMM) en ce qui concerne la vraisemblance des résultats de placements divers sont de nature purement hypothétique; de plus, elles ne reflètent aucunement des résultats de placement réels et ne sauraient garantir les résultats futurs. Les résultats du VCMM varieront à chaque utilisation et dans le temps.

Les projections du VCMM sont basées sur une analyse statistique de données chronologiques. Les rendements futurs pourraient différer des tendances historiques saisies dans le VCMM. Qui plus est, le VCMM est susceptible de sous-estimer des scénarios défavorables extrêmes qui ne sont pas survenus dans le passé et sur lesquels le modèle est basé.

Le Vanguard Capital Markets Model® est un outil de simulation financière exclusif qui a été conçu et est mis à jour par l’Investment Strategy Group de Vanguard [les équipes Primary Investment Research and Advice de Vanguard]. Le modèle effectue des prévisions de distributions des rendements futurs d’une vaste gamme de catégories d’actif. Ces catégories comprennent les marchés boursiers américains et internationaux, ceux des obligations du Trésor américain et des titres à revenu fixe de sociétés comportant diverses échéances, les marchés des titres à revenu fixe internationaux, les marchés monétaires américains, les produits de base et certaines stratégies de placement non traditionnelles. Le VCMM est fondé sur l’opinion théorique et empirique voulant que le rendement de diverses catégories d’actif reflète le revenu que les investisseurs exigent pour courir divers types de risque systématique (bêta). À la base, le VCMM repose sur des estimations du lien statistique dynamique entre les facteurs de risque et le rendement des actifs, estimations qui sont calculées en fonction d’analyses statistiques basées sur des données financières et économiques mensuelles remontant à 1960. En ayant recours à un système d’équations estimatives, le modèle applique une technique de simulation de Monte-Carlo pour projeter des relations estimatives entre les facteurs de risque et les catégories d’actif ainsi que le caractère incertain et aléatoire dans le temps. Le modèle produit un grand nombre de résultats simulés pour chaque catégorie d’actif, et ce, sur plusieurs périodes. On obtient les projections en calculant les mesures de tendance centrale issues de ces simulations. Les résultats produits par le modèle varieront à chaque utilisation et dans le temps.

 

Date de publication : Décembre 2022 

Les renseignements aux présentes peuvent être modifiés sans préavis, et pourraient ne pas nécessairement représenter l’avis de Placements Vanguard Canada Inc. 

Certains énoncés inclus dans le présent document peuvent être considérés comme étant des « informations prospectives », lesquelles pourraient être importantes et comporter des risques, des incertitudes ou d’autres hypothèses. Rien ne garantit que les résultats réels ne seront pas considérablement différents de ceux présentés ou sous-entendus dans ces énoncés. Ils reposent sur des facteurs qui comprennent, entre autres, les conditions des marchés des capitaux du monde entier en général, les taux d’intérêt et de change, les facteurs politiques et économiques, la concurrence, les changements d’ordre juridique ou réglementaire et les catastrophes. Toute prévision, projection ou estimation contenue dans ce document devrait être interprétée comme étant de l’information d’ordre général concernant le marché ou les placements, et nous ne déclarons aucunement qu’un investisseur pourrait dégager des rendements similaires à ceux indiqués aux présentes. 

Bien que les renseignements aux présentes aient été tirés de sources exclusives et non exclusives considérées comme fiables, The Vanguard Group, Inc., ses filiales ou sociétés affiliées ou toute autre personne (collectivement appelées « The Vanguard Group ») ne font aucune déclaration ni ne fournissent aucune garantie, explicite ou implicite, quant à leur exactitude, à leur intégralité, à leur fiabilité ou à leur caractère opportun. The Vanguard Group n’assume aucune responsabilité à l’égard des erreurs ou des omissions contenues dans le présent document ni à l’égard de toute perte découlant de l’utilisation des renseignements contenus dans ce document ou du fait de s’y être fié. 

Le présent document ne constitue pas une recommandation, une offre ou une sollicitation d’achat ou de vente de titres, notamment de titres d’un fonds de placement ou de tout autre instrument financier. Les renseignements aux présentes ne se veulent pas des conseils de placement et ne sont pas personnalisés en fonction des besoins ou de la situation d’un investisseur; ils ne constituent pas non plus des conseils d’affaires ou de nature financière, fiscale, juridique, réglementaire, comptable ou autre. 

Les renseignements aux présentes pourraient ne pas s’appliquer au contexte particulier des marchés des capitaux canadiens et pourraient inclure des données et des analyses propres à des marchés et à des produits non canadiens. 

Les renseignements contenus dans le présent document sont fournis à titre informatif seulement et ne doivent pas être à l’origine d’une recommandation de placement. Il est fortement recommandé aux investisseurs de consulter un conseiller financier ou fiscal ou un autre conseiller professionnel pour obtenir de l’information qui s’applique à leur situation particulière. 

Dans ce document, toutes les références à « Vanguard » sont utilisées à des fins de commodité seulement et pourraient faire référence, le cas échéant, à The Vanguard Group, Inc. et pourraient inclure ses filiales et ses sociétés affiliées, y compris Placements Vanguard Canada Inc.

Les fonds de placement peuvent donner lieu à des commissions de courtage, à des frais de gestion ou à d’autres frais. Les objectifs de placement, les risques, les frais et les commissions, ainsi que d’autres informations importantes figurent au prospectus; veuillez le lire avant d’investir. Les fonds de placement ne sont pas garantis, leur valeur change fréquemment, et leur rendement passé peut ne pas se reproduire à l’avenir. Les fonds Vanguard sont gérés par Placements Vanguard Canada Inc. et sont offerts au Canada par l’intermédiaire de courtiers inscrits.

Ce document est fourni à des fins informatives seulement. On ne devrait pas se fier aux renseignements contenus dans ce document, ceux-ci ne constituant pas des conseils de placement, fiscaux ou basés sur des recherches. Ce document ne constitue d’aucune façon une recommandation, explicite ou implicite, une offre ou une sollicitation d’achat ou de vente de titres ou en vue d’adopter une stratégie de placement ou de portefeuille précise. Les opinions et perspectives exprimées dans ce document ne prennent pas en considération les objectifs de placement, les besoins, les restrictions, ni les circonstances propres à un investisseur particulier. Par conséquent, elles ne devraient pas servir de base à toute recommandation de placement précise. Il est fortement recommandé aux investisseurs de consulter un conseiller financier ou fiscal pour obtenir de l’information qui s’applique à leur situation particulière.

Tous les fonds de placement, y compris ceux qui tentent de reproduire le rendement d’un indice, sont assujettis à des risques, dont la possibilité de perdre le capital investi. La diversification ne garantit pas un profit et ne protège pas contre les pertes en cas de repli du marché. Même si les FNB Vanguard sont conçus pour être aussi diversifiés que les indices qu’ils tentent de reproduire et qu’ils peuvent procurer une diversification supérieure à celle qu’un investisseur individuel peut obtenir à lui seul, un FNB donné n’est pas nécessairement un placement diversifié.

À moins d’indications contraires, toutes les valeurs monétaires sont exprimées en dollars canadiens.